Le plus bizarre ? Se dire qu’un besoin aussi vital que celui de s’habiller est capable d’infliger autant de dégâts à la planète. Si nous voulons avoir chaud l’hiver, cela doit-il obligatoirement impacter la planète ? Espérons que non. Tout serait une question de quantité ? On y est. La surconsommation.
La surconsommation. Notre machine d'auto-destruction.
De toute nos forces. On a tout donné. On a vraiment cru très fort en nous. En notre force. En nos super capacités. Le problème c’est qu’on s’est peut-être un peu emballé. Un chouilla. Ce boomerang revient à pleine vitesse et on va se le prendre en pleine face.